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La Ville Rouge

Michaël Matthys

160 pages — 21 × 26,5 cm
quadrichromie — couverture 
cartonnée — collection Amphigouri

 

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ISBN 9782350650227
28 €

Michaël Matthys, sur La Ville Rouge

Komment et pourkoi est né votre projet ?

En août 2007, alors que je marchais dans les quartiers ouest de la ville je me suis retrouvé dans un dépotoir où l’on pouvait voir des traces de passage d’êtres humains ayant dormi, bu, vécu dans cet endroit glauque… Cela me laissa une violente impression esthétique qui m’amena à me lancer dans ce projet.

Kand et pourkoi a t-il pris cette Forme ?

Au départ ce projet s’est arrêté à 16 pages car j’avais l’opportunité de travailler à fond sur Moloch. Lorsque ce premier a été publié, la voie était libre pour approfondir le projet « Ville rouge », qui s’est avéré plus prenant et plus complexe qu’au départ. D’une ébauche de 16 pages, je me suis donc retrouvé en fin de projet avec un livre de 150 pages.

Kel est son Centre ?

La forte relation qui unit les habitants à leur ville quels qu’en soient les aspects positifs ou négatifs.

Kelles sont ses limites ?

Quel que soit le livre ce n’est pas l’auteur qui pose les limites, c’est le lecteur en fonction de son vécu et de sa propre conscience.

K’en dites-vous ?

Pour l’instant la relation que j’ai avec ce travail est beaucoup trop fusionnelle. Je n’ai pas le recul nécessaire pour pouvoir émettre un avis objectif. La seule chose que je puisse émettre dans l’absolu c’est mon contentement d’avoir pu terminer ce livre.

Selon vous, K’en dira-t-on ?

Je pense que le plus important c’est d’avoir pu m’exprimer grâce à ce travail. Quant au qu’en-dira-t-on, cela reste évidemment une étape importante qui, en ce qui me concerne me permettra de me repositionner pour mon travail à venir.

Si votre projet était un Fruit ?

Je trouve que l’ananas convient particulièrement bien car s’il peut paraître « épineux » de l’extérieur, il laisse, à celui qui prend la peine de l’éplucher, une saveur douce acide en bouche qui plaît… ou ne plaît pas.

Si votre projet était une Fleur ?

L’hellébore qui quelle que soit la rigueur du climat et de l’endroit où elle se trouve, arrive toujours à s’épanouir.

Si votre projet était une Maladie ?

Le virus de l’ébola car lorsqu’on passe de 16 pages à 150 pages, on peut dire qu’il y a eu prolifération de cellules !

Où en êtes-vous ?

A la fin d’un travail et déjà en cogitation sur un autre…

Selon vous, où en est-on ?

Dans une grande période de réflexion pour un avenir « meilleur » ?!?!